Le pétrole baisse,
la bourse monte,
et moi, j'ai la tête pleine de flux RSS, et je ne sais plus très bien pourquoi je suis là. Pourtant, je ne fais pas de politique, le débat est fort bien bien alimenté ici ou là, je ne fais pas de social et ne participe pas à la soirée blogo-schtroumpf, je suis archi-nul en photo, je ne sais pas dessiner, je ne publie pas de recettes de cuisines, vu que toutes celles que je pratique sont déjà en ligne, merci marmiton, je ne sais pas faire des podcasts délirants, ni de détournements, et je suis un mec.
Et pourtant, je me sens bien ici, parceque c'est à moi, et que je peux y raconter n'importe quoi, et que tout le monde s'en fout ou pas, peu importe.
En fait, c'est juste un prétexte pour que je raconte comment je kiffe-à-donf sur Thievery Corporation (je viens de m'appliquer à mort pour l'écrire correctement, parce que j'ai la facheuse tendance à écrire Theivery).
Je découvre qu'ils ont sorti un album il y a 3 mois (putain,il y a du laisser-aller, il va falloir se re-mettre à bosser !) et comme il met un peu de temps à arriver, je réenquille Cosmic Games, qui mérite bien qu'on s'y attarde un peu beaucoup quand même. Subtil mélange de trip-hop-dub-latinos-acid- jazz-downtempo- loundge-world-samba-hip-hop- indy-easy-listening, ... secouez le tout, et saupoudrez. Des lignes de basses qui déchirent sa race, des percus en-veux-tu-en-voilà, des voix ultra-chaudes, juste ce qu'il faut d'électro, et du groooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooove !
++
jeudi, octobre 05, 2006
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