jeudi, août 09, 2007

Mais où est passé le blog de Manu Larcenet ?

Voilà, avant, il y avait Temps Perdu, et puis il est parti pour je ne sais plus quelle raison. Puis il a commencé Épais et Tordus et ça a disparu d'un coup.

Bon, il n'y a pas de quoi écrire à la famille ! n'empêche, je m'y étais fait, ça mettait de la vie comme je l'aime dans mon agrégateur.

Tiens, puisque j'y suis, je ne vous saurais trop vous recommander d'enquiller l'excellentissime album live de Traffic, Welcome to the Canteen. J'ai acheté ça chez Gibert Jeunes quand j'avais 16 ans, le même jour que les Allman Brothers, d'ailleurs, je trouvais qu'ils avaient des bonnes têtes tous les deux ! Donc, cet album est tout simplement énorme pour peu qu'on soit un chouille sensible aux grandes envolées de guitare, hammond et percus digne des plus grands groupes de Rock de la planète de l'époque. Avec juste ce qu'il faut de rock et de coolitude. Et ce feeling énorme qui sort de partout de tous les instruments à la fois. De la Soul blanche, a kind of ! Il y a un monstrueux Dear Mr Fantasy, dont Crosby Stills & Nash ont su pas trop mal s'en tirer des années trop tard, mais rien à voir avec la version hallucinante de leurs créateurs. Et puis bien sur, l'énorme Gimme Some Loving, littéralement porté par un Stevie Winwood survolté ! Une des meilleures Face B de LP à mon avis (juste après Metamorphosis, Sticky, Beggar's, Let it Bleed et Get yer ya). A écouter d'urgence...

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ps: ça y est, je l'ai retrouvé, il est

mercredi, août 01, 2007

Aujourd'hui, rions un peu à la chasse au python


Pour commencer, équipons nous un peu pour chasser le python. Rien de tel qu'une peau de bête, de préférence un renard, enroulée sur le bras gauche.




Ensuite, c'est parti, demande gentiment à ton pote Robert de t'aider à descendre dans le trou du python. Et surtout de t'aider à remonter tout à l'heure, Robert, ne lâches surtout pas mes pieds !




Robert, je sens que tu as lâché mes pieds...




Au fond du trou, tu rencontres ton ami le python, qui n'est pas forcement très jouasse de te voir débarquer dans son trou. Tu peux allumer une petite torche histoire qu'on y voit quelque chose, ce sera mieux pour les photos.




Tu profites de la bonne luminosité pour demander au python de te prendre en photo, avec ton plus beau sourire, ça le fait à donf.




En général, une fois que le python a pris la photo, c'est le moment qu'il choisit pour se ruer sur toi. Il faut faire très vite, récupérer vite fait l'appareil et shooter les amygdales du python, tout en lui présentant ton bras gauche, celui qui est couvert avec la peau de bête, sinon ça fait plus mal. On remarque au passage la vilaine atrophie de l'oesophage du python, ça doit lui faire un mal de chien !




C'est là que tu te sers de ta main droite pour attraper le python qui t'a mordu la main gauche. Tu en as profité pour passer l'appareil à Mimi la fourmi qui passait par là et qui immortalise rapidos la scène. Tu penses à gueuler bien fort à Robert qu'il peut commencer à te faire remonter dare-dare.




Une fois dehors, tu peux facilement tordre le cou du python avant que celui-ci ne t'étouffe.




Ca y est, tu peux rentrer chez toi, tu as de quoi bouffer pour quelques jours, c'est de la bonne assure.

Voilà, toutes les photos ont été piquées ici, excellent blog essentiellement visuel, dont je recommande chaudement le visionnage.

Ce sera tout pour aujourd'hui...

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